L’obligation de réguler l’aviation

Organisation de l’aviation civile mondiale (OACI), organisation intergouvernementale spécialisée liée à l’U. N. (ONU). Créée en 1947 à partir de la Convention sur l’aviation civile internationale (1944), qui avait été signée par 52 revendications trois ans auparavant dans la ville de Chi, l’OACI se consacre à la construction d’un transport atmosphérique international sûr et productif à des fins de détente et pour garantir une opportunité équitable pour chaque condition d’exploiter des compagnies aériennes du monde entier. Le siège social à long terme de l’organisation est à Montréal. L’OACI, dont les membres comprennent pratiquement tous les États de la terre, a un certain nombre de systèmes d’éléments: (1) une assemblée de délégués de tous les pays membres qui convient à tous les 36 mois, (2) un conseil de représentants de 33 associés dit , élu par et responsable de la mise en place, qui siège en session permanente au siège de l’OACI, (3) un paiement de la Commission de navigation aura nommé par l’autorité locale ou le conseil pour traiter les questions technologiques, et (4) divers comités permanents, y compris un comité sur le soutien conjoint des solutions Air Menu et un comité des finances. Le Secrétariat de l’OACI est dirigé par un assistant-basique choisi par le Conseil pour une période de trois à douze mois. Les 5 sections principales du Secrétariat – l’Air Le Bureau de la navigation, le Bureau du transfert de l’environnement, le Bureau de la co-procédure technologique, Dans les airs le Bureau juridique et le Bureau de l’administration et des services – offrent une aide spécialisée et de gestion aux nombreux associés nationaux. Les activités de l’OACI ont permis de définir et d’examiner les spécifications techniques mondiales du fonctionnement et de la conception des aéronefs, de l’analyse des collisions, de l’octroi de licences au personnel, des télécommunications, de la météorologie, de l’atmosphère des appareils de navigation, des installations au sol pour le transport du flux d’air et des quêtes de contrôle et sauvetage. L’organisation promeut également des accords locaux et mondiaux visant à libéraliser les marchés de l’aviation, aide à créer des exigences légitimes pour s’assurer que l’expansion de l’aviation ne compromet pas la sécurité de base et motive le développement d’autres éléments de la législation aéronautique internationale. Les automobiles à amortissement du flux d’air ne sont pas considérées comme des avions par le biais de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI), mais la technique des réclamations individuelles à ce sujet n’est pas encore payée. Les premières lois de la loi sur l’atmosphère étaient un décret de 1784 des forces de l’ordre de Paris interdisant les itinéraires en montgolfière sans autorisation spécifique. En raison de la personnalité essentiellement mondiale de l’aviation, un élément important du droit de l’atmosphère est soit la réglementation mondiale, soit la loi standard mondiale (les lignes directrices de la législation nationale qui, par accord, ont été produites de manière uniforme à l’échelle mondiale). En ce qui concerne la législation internationale sur la circulation de l’air, il sera rarement nécessaire de mentionner que l’arrangement international ou même un amendement à celui-ci n’est contraignant que pour les événements qui l’accompagnent.

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